Elles ont entre douze et dix-huit ans, elles sont curieuses, elles cherchent des réponses à leurs questions à propos de l’univers fascinant du numérique… Elles ont adhéré au programme Numérisantes !  A sa 3e édition cette année, Numérisantes est un programme de découverte des métiers du numérique, consacré aux jeunes filles collégiennes et lycéennes, pour permettre une immersion au travers de plusieurs programmes Tech et numériques afin de susciter des vocations et démystifier les métiers du digital.

Allant des coupes majestueuses, aux tenues plus sobres avec le kaba revisité, des tenues de villes aux tenues époustouflantes pour des cérémonies de mariage et dot... Le public a été servi et pas qu’un peu ! Spécialisée dans la couture pour femme, Dewoleu nous confiera qu’elle ne s’occupe que des dames !

on a assisté dans les villes tchadiennes aux créations et à la prolifération des vidéos et cinés clubs. Véritables révolutions culturelles, ils ont contribué à la démocratisation des éruditions artistiques de d’autres contrées et ce, malgré l’exposition d’enfants aux programmes moins adaptés pour leur âge et des politiques commerciales peu glorieuses.

Quartier Haoussa, quartier Amiriyé, quartier borno... Le communautarisme, cette conception qui soutient que « l'individu n'existe pas indépendamment de ses appartenances, qu'elles soient culturelles, ethniques, religieuses ou sociales » peut trouver son explication dans les mouvements migratoires et la nécessité pour l’humain de vivre à proximité des personnes avec lesquelles il partage les mêmes cultures et valeurs.

Au Tchad, beaucoup ont du mal a trouver un raisonnement valable au port des cheveux longs par les hommes ; trouvant l’argument du style et/ou de la mode très léger. Je suis allé à la rencontre des adeptes des coupes de cheveux afro.

Au total, 43 artistes se sont produits sur la désormais mythique scène de Koura Gosso. Deux venus du Cameron et un autre du Niger mobilisant plusieurs milliers de participants.

Il est de coutume chez les Tchadiens d’abattre du bétail pour les fêtes, pour accueillir des étrangers ou juste pour la consommation familiale. C'est une habitude tellement bien encrée que des gens n'imaginent pas leurs plats sans viande ni poisson...

De nos jours, bastonnades, enlèvements, tortures, blessures… sont autant de maux causés par le mariage par rapt face aux parents impuissants. C’est bien de défendre les traditions mais je dis qu’il y a des cultures à bannir...

Vers le mois de mars, lorsque l’eau du fleuve Chari quitte son lit naturel, il devient un lieu propice pour certaines activités lucratives. Des femmes et des hommes arpentes alors ses abords pour des cultures maraichères en tous genres.

Depuis quelques jours se tient au sein de l’Institut Français du Tchad, en pleine ville de N’Djaména, une exposition qui met en valeur les "reines" de Gaoui, une localité située à une vingtaine de kilomètre de la capitale tchadienne.